coeurs saignants de la bouche : soleil-noir

nous rejoignîmes les pôles
sous un soleil de jade,
nos lèvres éructées peau à peau.
De cette terre agraire s'élevait
le murmure des pierres.
Nos mains grimaçaient sur la toile.
Nous dominions la falaise et avions
vue sur le vide. Le silence ondoyait
sur la vaste étendue.
Nos souffles se lièrent au levant
/scarabés ignorés de ses congénères/.
Nous partîmes rejoindre Hercule au Sabbat.




© Christian Aguirre

 

 

 

Michel Lac, Rivaginaires n° 17, 1991

 

 

 

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© Isabelle Saint-Jean, Février 2003
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